Evidemment elle se remarque cette maison verte qui tourne au jaune lorsque le soleil se couche sur l’Atlantique. Coincée entre quelques hangars au bord de la lagune à Guilvinec, elle illumine ce paysage. Je ne pouvais, pour ma part, pas l’ignorer, la fenêtre de la chambre du gîte où nous
KREES et moi, les deux fidèles de l’Atelier Licence 4, avons accueilli deux nouvelles colocs en ce début d’année: Jenniris et Nancy Gabel. Toutes deux sont de jeunes artistes contemporaines expressives et talentueuses et s’entendent bien avec KREES pour mettre de la couleurs partout dans l’atelier. Pour fêter leur arrivée
« Yannick », 3ème, comme promis le résultat de cette immersion dans une lagune bretonne: J’ai passé plus de temps à rêver qu’à dessiner devant ce paysage, dans un dialogue imaginaire avec ce petit bâteau. « Tu reste silencieux, le nez dans la vase, supportant le flux et le reflux, chaque jour, les
Bonjour! « Yannick », le petit bateau dont je vous ai parlé à plusieurs reprises, est en phase de séchage avant les derniers ajustements. En attendant, j’ai mis en route « La maison verte », autre point de vue, à l’entrée cette fois, de la lagune de Guilvinec. A gauche la photo, à droite
Yannick, épisode 2. Après le dessin, sommaire, toujours à l’acrylique bien diluée, j’ai attaqué cet après-midi les premiers passages à l’huile. Il se dégage une forte luminosité de ce tableau, que je vais essayer de conserver. Sur place, la scène était baignée de lumière océane, même derrière des rideaux de
Nous avons passé les fêtes de Noël dans une petite maison à Guilvinec, à l’arrière du port sur la lagune. Ce fût notre plus beau cadeau, cette vue sur le flux des marées et sur les oiseaux, goélands, cormorans et tournepierres à colier pour l’essentiel, avec quelques mouettes rieuses, comme
Bon, comme je me l’étais promis, et à vous aussi, de facto, voici la réplique au pastel du « Petit sapin de Gimel » réalisé à l’huile auparavant. Le pastel est d’ores et déjà à l’abris, sous-verre, dans son cadre en bois vert avec passe-partout. Pour le panneau à l’huile point besoin
Ils étaient une vingtaine, placés sous la responsabilité d’Hercule, c’était leur premier camp. Guidés par un vieux monsieur qui a connu cette époque, nous découvrons le site, en plein bois, dans un vallon où coule un ruisseau, les sapes se devinent encore. Je m’assois au bord de celle-ci dans laquelle
Peindre en atelier en novembre en plein confinement, oui, bien sûr, mais il faut un motif coloré qui laisse s’exprimer ce besoin d’évasion qui nous habite tous. J’avais en tête une photo de la baie de l’Aiguillon prise par Philippe Arnaud, que j’ai interprétée avec plaisir, et avec son aimable
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